Marco Martiniello. Dans L’Observatoire 2021/1 (N° 57), pages 87 à 88

Depuis mars 2020, la pandémie de la Covid-19 a pris la place des migrations et de l’exil au sommet de l’agenda médiatique et des débats politiques en Europe. Les migrants et les réfugiés font partie des oubliés de la crise sanitaire mondiale qui a encore accru leur précarité et trop souvent leurs souffrances. Les pratiques de solidarité – développées par une partie des populations locales dans les pays européens – ont été entravées par les nombreuses mesures prises pour lutter contre la propagation du virus. Comment, dans ce contexte socialement et économiquement difficile et politiquement tendu, l’art permet-il de parler des migrations et des migrants ? Existe-t-il un art de parler des migrations ?

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NB : cette revue est disponible au sein du département Société de la bibliothèque de l’Alcazar (Marseille).